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En octobre, le livre numérique a vraiment profité de l'arrivée du Kindle d'Amazon :
une hausse de 164 % des ventes (je parle naturellement des seuls chiffres que je connais : les miens)
En novembre, je n'imaginais pour parvenir à reconduire un tel chiffre... stabiliser au moins... Mais au 29 novembre... 48% de hausse déjà acquises... Surtout grâce à l'offre
Rue du commerce qui permet d'obtenir un bon d'achat de 15 euros pour toute commande d'un de mes ebooks... (vous pouvez encore en profiter... l'offre se terminant le 31 novembre)
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Bizarrement, sur Rue du Commerce, les achats se sont surtout portés sur LE LIVRE NUMERIQUE, FILS DE L'AUTO-EDITION, pourtant publié le 1er mai 2011... il est vrai que ce texte offre une vue d'ensemble des enjeux du livre numérique en France.
Alors, décembre ?
Le Kindle cadeau de Noël ne sera sûrement pas ouvert avant... le 25 décembre (comme dirait monsieur Alain Juppé dont j'apprécie encore sa vieille remarque qu'il faut 100 ans pour obtenir un arbre centenaire), il sera nécessaire d'aller chercher les ventes !
Je compte naturellement beaucoup sur le roman du show-biz et de la sagesse , publié le 26 et entré dans les 500 meilleures ventes ce jour... L'objectif est d'atteindre le Top 20 d'Amazon et pour y arriver j'ai accordé un droit de vente à seulement 0,99 euro pour ce roman dont la version papier (toujours disponible à 19 euros) avait tellement chagriné monsieur Francis Cabrel qu'il avait mandaté un avocat... et monsieur Richard Seff, mais j'ignore si vous le connaissez...
Vous pouvez naturellement aussi acheter mes ebooks en direct (sur ce site, quoi) ou sur Itunes d'Apple, la Fnac, epagine, Immateriel, la librairie Gallimard...
Comment faire connaître mes ebooks aux possesseurs d'Ipad reste mon grand problème :
être en vente sur Itunes d'Apple ne semble pas suffisant. Sur quelles applications de l'Ipad se vendent les ebooks ?
Pour l'instant, je n'ai pas la réponse et Amazon me vend nettement plus d'ebooks qu'Apple... alors que certains communiquent sur des chiffres nettement supérieurs chez Apple... Si vous avez une solution, je suis preneur...
Au-delà de mon cas : cette nouvelle hausse valide (s'il était encore besoin !) l'approche du "4eme edistributeur", IMMATERIEL, qui a souhaité OUVRIR l'édition en France : oui un auteur-éditeur indépendant vend des ebooks quand il peut être présent aux mêmes endroits que les grandes structures.
Si vous avez lu ma
lettre ouverte à monsieur Arnaud Lagardère au sujet du Livre numérique , vous connaissez la position de Numilog, du groupe Lagardère. Sinon, en quelques mots : auteurs indépendants, payez JEPUBLIE pour être distribués par NUMILOG !... et laissez une marge en plus !
Xavier Cazin a proposé une autre approche : la rémunération du edistributeur, c'est LA MARGE sur les ventes.
Approche logique, me direz-vous ! Hé bien, pas tant que cela, dans notre pays !... Où, comme l'a déclaré monsieur Gallimard, le GOUVERNEMENT aurait souhaité qu'il n'y ait qu'un seul edistributeur...
Certes, s'il n'y avait eu IMMATERIEL, il aurait quand même été possible de passer par la plateforme d'autopublication d'Amazon... mais la présence sur la quasi totalité des points de ventes est une quasi nécessité quand on souhaite vivre de sa plume en vendant des ebooks à bas prix (et toujours, un peu, de livres en papier).
J'espère bientôt être rentable pour IMMATERIEL ! Oui, ça ne me dérange pas de laisser une marge à une société qui fait plus que correctement son boulot et permet une véritable diffusion de mes écrits...
Dans la mise en place du MODELE ECONOMIQUE de l'ebook, l'approche de la edistribution selon immateriel marque des points...
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Votre réaction ou votre avis sur le sujet...
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- le 24 décembre 2011 à 08 : 16
par paul : quel sera le chiffre des ebooks en novembre 2012 ? |
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- le 29 novembre 2011 à 23 : 15
par Franck Lefèvre : Je partage votre analyse du rôle du edistributeur Immateriel et en profite pour féliciter chaleureusement monsieur Cazin |
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